Vous aviez besoin d’une nouvelle preuve de mon obsession pour les sports américains ?
Suffisait de demander : je viens de passer deux heures à réfléchir à la façon dont j’allais remplir le truc au-dessus, officiellement connu sous le nom de « 2007 NCAA Tournament Bracket ».
En français, le tableau du tournoi de basket universitaire.
Le principe, en deux mots : les 64 meilleures équipes du pays, classées par têtes de séries, vont tenter de se qualifier pour le Final Four à Atlanta, du 31 mars au 2 avril.
Les Américains surnomment cette compétition « March Madness » ou bien « The Big Dance », et rien d’autre ne fera la une de l’actualité sportive pendant un peu plus de 15 jours. Des milliards de dollars vont circuler, car tout individu avec une vie sociale, sans présumer de son intérêt pour le basket, se sentira obligé de remplir son propre « bracket », de le comparer avec celui de ses collègues de boulot, et de miser quelques billets (bien entendu, les paris sont officiellement prohibés).
Si comme moi vous n’y connaissez rien mais que vous voulez défiez les Américains à leur propre jeu, remplissez donc votre propre « bracket » en ligne : tournament.fantasysports.yahoo.com/men
Facile et gratuit.
Un tuyau pour vos pronostics : les têtes de série n°1 sont généralement meilleures que les n°16.
PS : difficile de comprendre l’engouement extraordinaire pour le sport universitaire aux Etats-Unis. Surtout quand comme moi on a vécu le contre-exemple parfait dans l’équipe de foot de la fac : terrains stabilisés mal éclairés les soirs d’hiver, adversaires qui se pointaient ou pas, absence totale de public (pas de pom-pom girls, donc), difficulté chronique à trouver 11 joueurs valides et jamais d’info sur le classement du championnat. Ah, et puis sachez aussi que j’étais de loin le meilleur joueur et buteur de l’équipe. C’est vous dire le niveau des autres.
Un tuyau pour vos pronostics : les têtes de série n°1 sont généralement meilleures que les n°16.
PS : difficile de comprendre l’engouement extraordinaire pour le sport universitaire aux Etats-Unis. Surtout quand comme moi on a vécu le contre-exemple parfait dans l’équipe de foot de la fac : terrains stabilisés mal éclairés les soirs d’hiver, adversaires qui se pointaient ou pas, absence totale de public (pas de pom-pom girls, donc), difficulté chronique à trouver 11 joueurs valides et jamais d’info sur le classement du championnat. Ah, et puis sachez aussi que j’étais de loin le meilleur joueur et buteur de l’équipe. C’est vous dire le niveau des autres.
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