Plus de post un tant soit peu élaboré jusqu’à nouvel ordre. Après tout, ce sont les vacances scolaires, et qui a envie de se préoccuper de la syntaxe ou d’articuler ses arguments à cette époque de l’année ?
Autant jeter en vrac tout ce qui me passe par la tête.
- après l’icône nationale Mauresmo, c’est au tour de Paul-Henri Matthieu de se faire sortir à Wimbledon ! Autant l’avouer, contrairement à ce que j’écrivais lundi, je n’ai jamais été inquiet.
- la NBA est une machine à intégrer les joueurs venant de tous les horizons. Nouvel exemple avec ces deux clips Youtube : qui de Stephon Marbury ou de Yi Jianlian parle le mieux anglais ? A vous de juger. Plus sérieusement, respect à Yi pour oser l’interview sans interprète, et applaudissements fournis à Steph pour son génie comique. Entre sa façon d’avaler les syllabes, le fait qu’il confonde les « dimes » avec Dieu sait quoi (dimes = assists = passes décisives ! ), les évocations troublantes de ses relations avec Isiah Thomas (« He’s a man’s man »), Kevin Garnett (« We didn’t sleep in the same bed ») et surtout sa sœur (« When I kissed her… I felt her body » : pardon ?), et le déchaînement final (« I want to see the spit in your mouth ! »), ce clip est destiné à devenir un classique. Ma déclaration préférée ? « I shoot to win… because I shoot to win. »
- enfin une rumeur qui attire mon attention dans le marché des transferts de la Ligue 1 Orange® : Lyon a entamé des discussions avec Fabio Grosso. Ce nom ne vous dit rien ? Allons, un petit effort, Fabio Grosso, le joueur le plus important de la dernière Coupe du Monde, haut la main… Je veux dire, il n’y a même pas de quoi discuter : entre le pénalty litigieux obtenu à la dernière seconde contre l’Australie, sa magnifique frappe enroulée du gauche qui donne l’avantage à l’Italie dans la prolongation face à l’Allemagne en demi-finale et un certain tir au but victorieux au soir du 9 juillet qui a fait basculer mon existence de l’enfer vers le paradis en, disons, un dixième de seconde, qui a eu plus d’influence sur cette compétition que mon héros Fabio ? Je veux bien l’admettre, je suis excité à l’idée de sa venue en France. Bien sûr, si le transfert se concrétise, cela va m’obliger à encourager Lyon, d’une façon ou d’une autre, mais que ne serait-on pas prêt à faire pour remercier l’homme qui vous a sauvé la vie ?
- en parlant de souvenirs mémorables, qu’ai-je retenu de cette première moitié de 2007 ? Pas grand-chose, mais il faut dire je n’ai passé qu’une matinée entière à me creuser la tête. En attendant que la mémoire me revienne, voici une sélection sommaire, avec l’aide de Youtube (Dieu bénisse Internet) :
1. Messi contre Getafe : un des buts les plus incroyables de ces dernières années, avec en prime l’inévitable comparaison avec Maradona. Tous ceux qui ont joué un jour au foot ont rêvé de marquer un but pareil. Et je dois dire que personnellement, un dimanche d’octobre contre… Non, je plaisante. Spécial bonus dans ce clip, le sponsor imprimé en gros sur les fesses des joueurs de Getafe : PSG. Ça ne s’invente pas.
2. Boise State vs Oklahoma, Fiesta Bowl : le petit Boise State (en blanc) contre le gros Oklahoma (en rouge) dans un des Bowls les plus cotés du programme universitaire (le système est trop compliqué pour être expliqué ici), et trois actions improbables qui ont laissé l’Amérique sur le c.. D’abord une passe latérale (ça n’arrive jamais) pour le touchdown égalisateur à la fin du temps réglementaire. Puis une passe par un receveur pour revenir dans la prolongation, et dans la foulée, l’impensable : plutôt que d’assurer avec une transformation au pied et de repartir pour une deuxième prolongation, le coach de Boise State choisit le tout pour le tout avec une transformation à 2 points qui va réussir grâce à une feinte extraordinaire, dite « Statue of Liberty ». Au lieu de me lire, vous feriez mieux de regarder les images, encore et encore.
3. Mo Pete vs Washington : je crois vous avoir déjà passé le lien, mais j’aime trop ce finish. « I don’t believe it ! I DON’T BELIEVE IT !!!! ».
4. Toulouse en Ligue des Champions : je désespérais de trouver des images de ce grand moment de comédie, mais avouez qu’entendre les Toulousains faire la fête sur l’air de la Ligue des Champions, c’est énorme. Et encore, j’attends de les voir se faire sortir au tour préliminaire pour pouvoir rire à gorge déployée.
Autant jeter en vrac tout ce qui me passe par la tête.
- après l’icône nationale Mauresmo, c’est au tour de Paul-Henri Matthieu de se faire sortir à Wimbledon ! Autant l’avouer, contrairement à ce que j’écrivais lundi, je n’ai jamais été inquiet.
- la NBA est une machine à intégrer les joueurs venant de tous les horizons. Nouvel exemple avec ces deux clips Youtube : qui de Stephon Marbury ou de Yi Jianlian parle le mieux anglais ? A vous de juger. Plus sérieusement, respect à Yi pour oser l’interview sans interprète, et applaudissements fournis à Steph pour son génie comique. Entre sa façon d’avaler les syllabes, le fait qu’il confonde les « dimes » avec Dieu sait quoi (dimes = assists = passes décisives ! ), les évocations troublantes de ses relations avec Isiah Thomas (« He’s a man’s man »), Kevin Garnett (« We didn’t sleep in the same bed ») et surtout sa sœur (« When I kissed her… I felt her body » : pardon ?), et le déchaînement final (« I want to see the spit in your mouth ! »), ce clip est destiné à devenir un classique. Ma déclaration préférée ? « I shoot to win… because I shoot to win. »
- enfin une rumeur qui attire mon attention dans le marché des transferts de la Ligue 1 Orange® : Lyon a entamé des discussions avec Fabio Grosso. Ce nom ne vous dit rien ? Allons, un petit effort, Fabio Grosso, le joueur le plus important de la dernière Coupe du Monde, haut la main… Je veux dire, il n’y a même pas de quoi discuter : entre le pénalty litigieux obtenu à la dernière seconde contre l’Australie, sa magnifique frappe enroulée du gauche qui donne l’avantage à l’Italie dans la prolongation face à l’Allemagne en demi-finale et un certain tir au but victorieux au soir du 9 juillet qui a fait basculer mon existence de l’enfer vers le paradis en, disons, un dixième de seconde, qui a eu plus d’influence sur cette compétition que mon héros Fabio ? Je veux bien l’admettre, je suis excité à l’idée de sa venue en France. Bien sûr, si le transfert se concrétise, cela va m’obliger à encourager Lyon, d’une façon ou d’une autre, mais que ne serait-on pas prêt à faire pour remercier l’homme qui vous a sauvé la vie ?
- en parlant de souvenirs mémorables, qu’ai-je retenu de cette première moitié de 2007 ? Pas grand-chose, mais il faut dire je n’ai passé qu’une matinée entière à me creuser la tête. En attendant que la mémoire me revienne, voici une sélection sommaire, avec l’aide de Youtube (Dieu bénisse Internet) :
1. Messi contre Getafe : un des buts les plus incroyables de ces dernières années, avec en prime l’inévitable comparaison avec Maradona. Tous ceux qui ont joué un jour au foot ont rêvé de marquer un but pareil. Et je dois dire que personnellement, un dimanche d’octobre contre… Non, je plaisante. Spécial bonus dans ce clip, le sponsor imprimé en gros sur les fesses des joueurs de Getafe : PSG. Ça ne s’invente pas.
2. Boise State vs Oklahoma, Fiesta Bowl : le petit Boise State (en blanc) contre le gros Oklahoma (en rouge) dans un des Bowls les plus cotés du programme universitaire (le système est trop compliqué pour être expliqué ici), et trois actions improbables qui ont laissé l’Amérique sur le c.. D’abord une passe latérale (ça n’arrive jamais) pour le touchdown égalisateur à la fin du temps réglementaire. Puis une passe par un receveur pour revenir dans la prolongation, et dans la foulée, l’impensable : plutôt que d’assurer avec une transformation au pied et de repartir pour une deuxième prolongation, le coach de Boise State choisit le tout pour le tout avec une transformation à 2 points qui va réussir grâce à une feinte extraordinaire, dite « Statue of Liberty ». Au lieu de me lire, vous feriez mieux de regarder les images, encore et encore.
3. Mo Pete vs Washington : je crois vous avoir déjà passé le lien, mais j’aime trop ce finish. « I don’t believe it ! I DON’T BELIEVE IT !!!! ».
4. Toulouse en Ligue des Champions : je désespérais de trouver des images de ce grand moment de comédie, mais avouez qu’entendre les Toulousains faire la fête sur l’air de la Ligue des Champions, c’est énorme. Et encore, j’attends de les voir se faire sortir au tour préliminaire pour pouvoir rire à gorge déployée.
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