Mille excuses, mais la semaine n’a pas été très riche, et mes résolutions pour la nouvelle année n’incluaient pas « écrire une intro intelligente pour chacun de tes stupides posts ». Alors si vous permettez, on s’en passera pour cette fois :
- retour sur l’élimination (1-3, après prolongations) de Brest par Monaco en Coupe de France. Bien sûr, ça fait mal d’avoir dominé toute la rencontre pour finalement se faire rejoindre dans la dernière minute du temps réglementaire et, dans d’autres circonstances, j’admets que c’est le genre de dénouement qui aurait pu entraîner des dépenses imprévues pour moi, comme l’achat d’une nouvelle porte, voire d’une nouvelle télé (une nouvelle bonne raison de ne pas s’abonner à Eurosport). Cela étant dit, voyons les choses en face : je suis soulagé que Brest ait perdu ce match. Je sais, cela sonne comme une trahison, au minimum comme un reniement de tout ce que j’ai jamais professé en tant que « supporter » (je hais ce mot), mais que voulez-vous que je vous dise : la télé et les têtes de nœud qui dirigent le football français m’avaient ruiné le match avant même qu’il ne commence, en organisant le tirage au sort du prochain tour le dimanche soir à 20h30 (Brest jouait à 20h45). Je savais donc que si nous venions à passer face à Monaco, tout ce que nous pouvions y gagner était un voyage à Marseille pour un match dans le trou puant connu sous le nom de « Stade Vélodrome ». Dieu merci, c’est Monaco qui ira là-bas. Je ne crois pas que j’aurais pu supporter un Marseille-Brest. Je veux dire, j’ai frôlé la dépression nerveuse pendant la dernière Coupe du Monde. Sans un coup de boule bien placé suivi d’un tir-au-but sur la transversale, qui sait où j’en serais aujourd’hui ? (probablement très loin, exilé dans une école coranique au Pakistan ou bien garde-chiourme de la Betancourt chez les FARC, quoique ce sigle puisse bien vouloir dire.) La pression d’une telle affiche aurait tout simplement pu me broyer, sans compter les effets dévastateurs du résultat final, eut-il été un humiliant 0-4, une défaite écoeurante sur une « erreur » d’arbitrage ou, cruauté des cruautés, une élimination aux tirs-au-but. Vous noterez qu’à aucun moment je n’aurais pu envisager une victoire brestoise. Toujours s’attendre au pire, telle est ma devise. Merci encore, Djamel Bakar. Tu m’as épargné bien des tourments.
- retour sur l’élimination (1-3, après prolongations) de Brest par Monaco en Coupe de France. Bien sûr, ça fait mal d’avoir dominé toute la rencontre pour finalement se faire rejoindre dans la dernière minute du temps réglementaire et, dans d’autres circonstances, j’admets que c’est le genre de dénouement qui aurait pu entraîner des dépenses imprévues pour moi, comme l’achat d’une nouvelle porte, voire d’une nouvelle télé (une nouvelle bonne raison de ne pas s’abonner à Eurosport). Cela étant dit, voyons les choses en face : je suis soulagé que Brest ait perdu ce match. Je sais, cela sonne comme une trahison, au minimum comme un reniement de tout ce que j’ai jamais professé en tant que « supporter » (je hais ce mot), mais que voulez-vous que je vous dise : la télé et les têtes de nœud qui dirigent le football français m’avaient ruiné le match avant même qu’il ne commence, en organisant le tirage au sort du prochain tour le dimanche soir à 20h30 (Brest jouait à 20h45). Je savais donc que si nous venions à passer face à Monaco, tout ce que nous pouvions y gagner était un voyage à Marseille pour un match dans le trou puant connu sous le nom de « Stade Vélodrome ». Dieu merci, c’est Monaco qui ira là-bas. Je ne crois pas que j’aurais pu supporter un Marseille-Brest. Je veux dire, j’ai frôlé la dépression nerveuse pendant la dernière Coupe du Monde. Sans un coup de boule bien placé suivi d’un tir-au-but sur la transversale, qui sait où j’en serais aujourd’hui ? (probablement très loin, exilé dans une école coranique au Pakistan ou bien garde-chiourme de la Betancourt chez les FARC, quoique ce sigle puisse bien vouloir dire.) La pression d’une telle affiche aurait tout simplement pu me broyer, sans compter les effets dévastateurs du résultat final, eut-il été un humiliant 0-4, une défaite écoeurante sur une « erreur » d’arbitrage ou, cruauté des cruautés, une élimination aux tirs-au-but. Vous noterez qu’à aucun moment je n’aurais pu envisager une victoire brestoise. Toujours s’attendre au pire, telle est ma devise. Merci encore, Djamel Bakar. Tu m’as épargné bien des tourments.
- Puisqu’on parle de Marseille, la Ligue 1 Orange® reprend ce samedi, et je dois dire, espérer une défaite marseillaise à chaque journée est réellement tout ce qui me reste d’intérêt pour ce championnat. Tout le monde sait que Lyon va être champion pour la énième fois d’affilée, qu’on leur donne le trophée maintenant et qu’on en finisse, par pitié. Est-ce que je suis vraiment censé m’asseoir devant ma télé demain à 17h10 pour suivre en direct Valenciennes-St Etienne ? D’accord, je le ferai peut-être… Mais ça sera uniquement parce que je suis un raté. Je n’y prendrai pas le moindre plaisir, c’est promis.
- Restons dans les saisons interminables remplies de rencontres sans intérêt avec la NBA et posons-nous la question : « Pourquoi les ligues de fantasy sont-elles aussi géniales et indispensables ? » Parce qu’elles font grandir l’intérêt pour le sport ! Attention, ça n’est pas comme si je ne suivais pas du tout la ligue professionnelle nord-américaine de basketball : je regarde les résultats, quelques highlights et occasionnellement un bout de match. Mais c’est plus par réflexe qu’autre chose, j’attends le mois d’avril et l’arrivée des playoffs pour me concentrer un peu plus sur le sujet. Ce qui je suis avec un œil avisé, par contre, ce sont les stats des joueurs et leur valeur pour mes équipes de fantasy. Une rencontre comme Charlotte/Cleveland, ce soir, n’a pas plus de valeur en soi qu’un Le Mans/Sochaux. L’important, c’est que les performances individuelles de Raymond Felton et de Daniel Gibson, elles, vont déterminer le sort de mon équipe de fantasy… Que croyez-vous que je vais regarder en premier demain matin en me connectant sur espn.com ? Le score du match ?
- Il ne reste que 9 jours pour voter pour les 5 majeurs du All-Star Game. Je viens de remplir mon bulletin sur nba.com. Voilà à quoi il ressemble, pour ce que j’en sais. Est : Billups, Wade, James, Garnett, Howard. Ouest : Paul, Bryant, Marion, Boozer, Camby. Si je devais élire des Fantasy All-Stars (d’après le retour sur investissement), ça serait forcément plus intéressant, et ça donnerait ça : Est : Mo Williams, Calderon, Butler, Turkoglu, Rasheed Wallace. Ouest : Paul, Davis, Gay, Hill, Kaman.
- Mon étonnante capacité à pronostiquer correctement les matches de NFL ne s’est pas démentie le week-end dernier, avec un parfait 4/4 dans le tour de Wild-Card. Je devrais vraiment me mettre à parier de l’argent sur le foot américain. Et de grosses sommes. En attendant, que me dit ma boule de cristal pour le Divisional Round ? Voyons voir :
- Jacksonville à New England : les Patriots sont toujours invaincus, non ? Pats 31, Jags 10.
- San Diego à Indianapolis : qui peut empêcher les Colts et les Pats de se retrouver pour l’AFC Championship Game ? Pas Philip Rivers. Colts 34, Chargers 21.
- Seattle à Green Bay : dans le doute, toujours choisir l’équipe qui reçoit. Packers 20, Seahawks 17.
- New York à Dallas : TO est de retour, Eli s’autodétruit, et grand chelem pour les têtes de séries. Cowboys 28, Giants 20.
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