Pour être franc, je ne regrette pas du tout l’époque où ce blog s’appuyait sur le concept suivant : moi essayant de faire de l’humour en me moquant de la Ligue 1 Orange®.
Je suis tellement plus inspiré dès qu’il s’agit de m’apitoyer sur mon sort.
Néanmoins, il existe peut-être parmi vous des fans puristes désappointés par la tournure prise par ce site et qui songent sérieusement à le rayer de la liste de leurs Favoris. S’il vous plaît, ne le faites pas.
Faisons plutôt comme si nous étions de retour en 2006 : pas de liens, pas de photos ni de vidéos, mais, histoire de vous rappeler à quel point c’était mauvais, juste une bonne vieille tentative d’avoir l’air spirituel grâce aux mythiques Power Rankings !
Vous avez bien mérité leur grand retour.
1. Lyon : comme c’est pratique. Juste quand je décide de faire renaître les PR, Lyon est de nouveau le leader incontesté du classement. Placer une autre équipe à ce rang aurait été trop perturbant. Car même s’ils viennent de subir 2 humiliations d’affilée en LDC et que je ne ferais pas confiance à Perrin pour coacher l’équipe de poussins de mon petit cousin, ils peuvent jouer tranquille. Regardez simplement qui vient derrière.
Je suis tellement plus inspiré dès qu’il s’agit de m’apitoyer sur mon sort.
Néanmoins, il existe peut-être parmi vous des fans puristes désappointés par la tournure prise par ce site et qui songent sérieusement à le rayer de la liste de leurs Favoris. S’il vous plaît, ne le faites pas.
Faisons plutôt comme si nous étions de retour en 2006 : pas de liens, pas de photos ni de vidéos, mais, histoire de vous rappeler à quel point c’était mauvais, juste une bonne vieille tentative d’avoir l’air spirituel grâce aux mythiques Power Rankings !
Vous avez bien mérité leur grand retour.
1. Lyon : comme c’est pratique. Juste quand je décide de faire renaître les PR, Lyon est de nouveau le leader incontesté du classement. Placer une autre équipe à ce rang aurait été trop perturbant. Car même s’ils viennent de subir 2 humiliations d’affilée en LDC et que je ne ferais pas confiance à Perrin pour coacher l’équipe de poussins de mon petit cousin, ils peuvent jouer tranquille. Regardez simplement qui vient derrière.
2. Bordeaux : les journalistes nous l’ont dit et répété : Laurent Blanc est un génie. J’étais sur le point d’objecter, mais comment expliquer autrement que cet effectif minable se retrouve dans le trio de tête ?
3. Nancy, Valenciennes, Le Mans : 3 équipes pour un triple cauchemar. Celui de la Ligue, celui de Canal+ et celui des téléspectateurs. Et une stat étourdissante : 6 défaites combinées. J’ai une théorie : les autres équipes n’essayent pas de gagner.
4. Rennes : lorsque j’étais étudiant, je me rendais le plus souvent possible au vieux stade de la Route de Lorient pour assister aux matches debout dans une tribune type Heysel. Un soir (le 9 avril 96, j’ai vérifié), Rennes recevait St Etienne, et rendez-vous était pris pour prendre l’apéro chez un pote qui non seulement habitait près du stade, mais était aussi le plus gros fumeur d’herbe que j’ai jamais rencontré. Pour une raison indéterminée, je débarquai chez lui en retard (qu’est-ce que j’avais bien pu faire de ma journée ? Vu qu’aller en cours était inenvisageable, je dirais, rien du tout.) et constatai les dégâts : 3 mecs sérieusement entamés par la drogue et l’alcool. Naturellement invité à me joindre à eux, je me contentai de quelques Ricard bien tassés parce que je voulais conserver ma lucidité et apprécier le match. C’était important, quoi, ne serait-ce que pour distinguer le ballon et les joueurs… Après la victoire de Rennes 3-0, l’inévitable ne manqua pas de se produire sur le chemin du retour. Un de mes potes qui avait passé la rencontre à fixer la pelouse en silence posa la question suivante : « Euh, qui c’est qu’a gagné, au fait ? » Ha. Ha. Ha. Il n’en avait pas la moindre idée, mais il avait passé une excellente soirée. La morale de l’histoire : la prochaine fois que je vais au stade Rennais, je fume un gros pétard.
5. Nice, Monaco : que se passe-t-il sur la Côte d’Azur ? Les Aiglons mieux classés que l’équipe du Prince ? Ah oui, c’est vrai, ça fait bien trois saisons de suite… Il est vraiment temps que je me remette à la page.
6. Strasbourg, Lorient, St Etienne, Toulouse : 3 victoires, 2 ou 3 nuls, 3 ou 4 défaites, à peu près autant de buts marqués qu’encaissés. Je suis à la recherche du terme qui décrirait parfaitement ces équipes, qui définirait leur nature profonde. Une première proposition : médiocrité.
7. Paris : la blague se poursuit, encore et toujours. C'est quoi l'expression, déjà ? « Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures », c’est bien ça ? D’ordinaire je ne suis pas d’accord, mais dans le cas du PSG…
8. Lille, Auxerre : ou comment tous les chemins mènent à la nullité. 7 nuls et 1 défaite pour Lille, aucun nul et 6 défaites pour Auxerre. Nous avons un championnat très créatif.
9. Marseille : par contre, je suis à court d’imagination, mais peu importe, j’ai un refrain tout prêt. Je les hais, je les hais, je les hais, je les hais, je les hais, je les hais, je les hais, je les hais…
10. Caen, Sochaux, Lens, Metz : le plus triste quand on regarde cette liste des derniers ? Savoir qu’une de ces équipes va se maintenir à la fin de la saison.
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