5 jours sans poster de nouvel article.
De toute évidence, je deviens paresseux.
Cependant, aviez-vous réellement envie de m’entendre discourir à nouveau sur les sports pros américains, dont vous n’avez que faire, ou pire encore, de lire mes impressions sur la pire journée de championnat que l’on ait connu depuis des années ?
Ne prenez pas la peine de répondre.
La suppression de mon traditionnel article du lundi était un acte prémédité, une protestation silencieuse face à la nullité de notre football.
(NB: Pour ceux qui avaient la chance d’avoir mieux à faire samedi soir, sachez que le grandissime Alexandre Ruiz en était réduit à nous parler de la grand-mère d’Anthony Le Tallec. On a même échappé de peu à l’interview exclusive en direct des vestiaires de Sochaux. Et oui, c’est ça Jour de foot, l’émission bâtie pour plaire aux trois cœurs de cible de Canal+ : les pré-pubères, le 4ème âge et les déficients mentaux.)
Aujourd’hui, pourtant, je suis de retour.
Mais, comme le joueur de D1 de base qui voudrait tant être ailleurs au moment de fouler la pelouse du stade du Moustoir, c’est vraiment parce que je suis obligé.
- ils ont donné le « Ballon d’or » à Cannavaro : les remises de prix sont une vaste blague (prix Nobel inclus), et c’est sans doute pour ça que les gens les aiment. Dans ce cas précis, suite à ce qui s’est passé le 9 juillet dernier à Berlin (il me semble avoir évoqué cet événement à plusieurs reprises, consultez donc mes archives) les jurés étaient dans l’obligation de décerner le trophée à un Italien. Ils ont choisi le capitaine. Et tant pis si Pirlo et Buffon ont fait une meilleure Coupe du Monde. Les journalistes français, tous amoureux de Thierry Henry, sont très déçus. Toujours bon à prendre. Mais pour que je m’intéresse à nouveau à ce prix il aurait fallu élire mon chouchou de l’année : Marco Materazzi.
Voilà qui remplit mon obligation de dire quelque chose à propos du « Ballon d’or France Football® »
- un supporter du PSG abattu par la police : si vous saviez à quel point je suis malade d’entendre tous ces « experts » donner leur avis sur la meilleure façon d’endiguer la violence dans les stades et aux alentours. Ils me donnent envie de me raser la tête et d’empoigner la barre de fer la plus proche pour aller la fracasser sur leurs crânes. J’en ai une, moi, de solution qui réglera le problème : supprimons le PSG. Ce club est au football ce que le Liban est à la géopolitique : une erreur de la nature. Démantelons-le. Tout de suite.
Voilà qui remplit mon obligation de dire quelque chose à propos du PSG.
- le Stade Brestois a été éliminé de la Coupe de France : à domicile et aux tirs au but par Les Sables d’Olonne, une équipe de CFA2. J’y vois néanmoins deux aspects positifs : d’abord, je n’étais pas au stade, et ensuite cela nous évitera de nous faire sortir par Guingamp au prochain tour.
Voilà qui remplit mon obligation de dire quelque chose à propos de la lamentable équipe du Stade Brestois.
De toute évidence, je deviens paresseux.
Cependant, aviez-vous réellement envie de m’entendre discourir à nouveau sur les sports pros américains, dont vous n’avez que faire, ou pire encore, de lire mes impressions sur la pire journée de championnat que l’on ait connu depuis des années ?
Ne prenez pas la peine de répondre.
La suppression de mon traditionnel article du lundi était un acte prémédité, une protestation silencieuse face à la nullité de notre football.
(NB: Pour ceux qui avaient la chance d’avoir mieux à faire samedi soir, sachez que le grandissime Alexandre Ruiz en était réduit à nous parler de la grand-mère d’Anthony Le Tallec. On a même échappé de peu à l’interview exclusive en direct des vestiaires de Sochaux. Et oui, c’est ça Jour de foot, l’émission bâtie pour plaire aux trois cœurs de cible de Canal+ : les pré-pubères, le 4ème âge et les déficients mentaux.)
Aujourd’hui, pourtant, je suis de retour.
Mais, comme le joueur de D1 de base qui voudrait tant être ailleurs au moment de fouler la pelouse du stade du Moustoir, c’est vraiment parce que je suis obligé.
- ils ont donné le « Ballon d’or » à Cannavaro : les remises de prix sont une vaste blague (prix Nobel inclus), et c’est sans doute pour ça que les gens les aiment. Dans ce cas précis, suite à ce qui s’est passé le 9 juillet dernier à Berlin (il me semble avoir évoqué cet événement à plusieurs reprises, consultez donc mes archives) les jurés étaient dans l’obligation de décerner le trophée à un Italien. Ils ont choisi le capitaine. Et tant pis si Pirlo et Buffon ont fait une meilleure Coupe du Monde. Les journalistes français, tous amoureux de Thierry Henry, sont très déçus. Toujours bon à prendre. Mais pour que je m’intéresse à nouveau à ce prix il aurait fallu élire mon chouchou de l’année : Marco Materazzi.
Voilà qui remplit mon obligation de dire quelque chose à propos du « Ballon d’or France Football® »
- un supporter du PSG abattu par la police : si vous saviez à quel point je suis malade d’entendre tous ces « experts » donner leur avis sur la meilleure façon d’endiguer la violence dans les stades et aux alentours. Ils me donnent envie de me raser la tête et d’empoigner la barre de fer la plus proche pour aller la fracasser sur leurs crânes. J’en ai une, moi, de solution qui réglera le problème : supprimons le PSG. Ce club est au football ce que le Liban est à la géopolitique : une erreur de la nature. Démantelons-le. Tout de suite.
Voilà qui remplit mon obligation de dire quelque chose à propos du PSG.
- le Stade Brestois a été éliminé de la Coupe de France : à domicile et aux tirs au but par Les Sables d’Olonne, une équipe de CFA2. J’y vois néanmoins deux aspects positifs : d’abord, je n’étais pas au stade, et ensuite cela nous évitera de nous faire sortir par Guingamp au prochain tour.
Voilà qui remplit mon obligation de dire quelque chose à propos de la lamentable équipe du Stade Brestois.
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