Il n’y a pas de mots pour décrire à quel point c’est génial de jouer dans des fantasy leagues.
Je sais que je prêche dans le désert, mais croyez-moi, ce jeu peut rendre vos petites vies minables tellement plus excitantes. Hier soir par exemple, j’ai choisi au 4ème tour d’une de mes drafts Donald Driver, des Packers de Green Bay, en tant que receveur numéro 1 pour mon équipe. Pas de quoi être trop excité, mais un joueur solide, productif, sur qui je devais pouvoir compter pendant toute la saison.
Mais en me connectant ce matin sur espn.com, voilà ce que j’ai découvert avec horreur : « Packers’ Driver injures right foot ». Nooon !
Le choc initial passé, j’ai pu lire la dépêche complète et comprendre que la blessure à la cheville n’était peut-être pas trop sérieuse et qu’on en saurait plus après des examens approfondis. Quand même, le mal était fait. Vous pensez que je vais surfer toute la journée sur les sites bien informés afin d’en savoir plus ? Vous me connaissez trop bien. Vous vous dites que je suis déjà en train d’imaginer le pire, comme une fracture qui me priverait de mon receveur n°1 pour toute la saison ? Encore vrai. Si les résultats sont mauvais, ce truc pourrait réellement me pourrir le week-end. Je veux dire, je drafte ce type, et trois heures après il sort du terrain sur une civière dans un stupide match de pré-saison ? Je ne sais pas ce qui me retient de lâcher un chapelet de gros mots.
Enfin, espérons que tout ira bien pour Donald. Et si jamais ce n’était pas le cas, vous savez quoi ? Tant pis. Car voilà bien l’essence de la fantasy : vivre dangereusement. Prendre des risques. Et toujours s’attendre au pire.
Bien. Ce n’est pas parce que je suis plongé jusqu’au cou dans les problèmes de santé des joueurs de la NFL que je n’ai pas de temps à consacrer aux sports mineurs comme le soccer. Du moins, suffisamment pour en penser ça :
- vous savez comment j’aime ma Ligue 1 Orange® : ennuyeuse, ridicule, et prévisible. C’est pourquoi j’ai un problème avec ce début de championnat. 2 défaites d’affilée pour Lyon ? Lorient, Le Mans et Nancy dans le trio de tête ? Rennes qui gagne un match au mois d’août ? Mais qu’arrive-t-il à cette bonne vieille D1 ? Je ne la reconnais plus ! Je suis un vieux garçon, je ne supporte pas que l’on bouscule mes habitudes. Heureusement qu’il reste le PSG : ils trouvent toujours le moyen d’être minables.
Je sais que je prêche dans le désert, mais croyez-moi, ce jeu peut rendre vos petites vies minables tellement plus excitantes. Hier soir par exemple, j’ai choisi au 4ème tour d’une de mes drafts Donald Driver, des Packers de Green Bay, en tant que receveur numéro 1 pour mon équipe. Pas de quoi être trop excité, mais un joueur solide, productif, sur qui je devais pouvoir compter pendant toute la saison.
Mais en me connectant ce matin sur espn.com, voilà ce que j’ai découvert avec horreur : « Packers’ Driver injures right foot ». Nooon !
Le choc initial passé, j’ai pu lire la dépêche complète et comprendre que la blessure à la cheville n’était peut-être pas trop sérieuse et qu’on en saurait plus après des examens approfondis. Quand même, le mal était fait. Vous pensez que je vais surfer toute la journée sur les sites bien informés afin d’en savoir plus ? Vous me connaissez trop bien. Vous vous dites que je suis déjà en train d’imaginer le pire, comme une fracture qui me priverait de mon receveur n°1 pour toute la saison ? Encore vrai. Si les résultats sont mauvais, ce truc pourrait réellement me pourrir le week-end. Je veux dire, je drafte ce type, et trois heures après il sort du terrain sur une civière dans un stupide match de pré-saison ? Je ne sais pas ce qui me retient de lâcher un chapelet de gros mots.
Enfin, espérons que tout ira bien pour Donald. Et si jamais ce n’était pas le cas, vous savez quoi ? Tant pis. Car voilà bien l’essence de la fantasy : vivre dangereusement. Prendre des risques. Et toujours s’attendre au pire.
Bien. Ce n’est pas parce que je suis plongé jusqu’au cou dans les problèmes de santé des joueurs de la NFL que je n’ai pas de temps à consacrer aux sports mineurs comme le soccer. Du moins, suffisamment pour en penser ça :
- vous savez comment j’aime ma Ligue 1 Orange® : ennuyeuse, ridicule, et prévisible. C’est pourquoi j’ai un problème avec ce début de championnat. 2 défaites d’affilée pour Lyon ? Lorient, Le Mans et Nancy dans le trio de tête ? Rennes qui gagne un match au mois d’août ? Mais qu’arrive-t-il à cette bonne vieille D1 ? Je ne la reconnais plus ! Je suis un vieux garçon, je ne supporte pas que l’on bouscule mes habitudes. Heureusement qu’il reste le PSG : ils trouvent toujours le moyen d’être minables.
- Je ne vous cacherai pas que voir Lorient en tête du championnat me rend légèrement nauséeux. Certes, Lorient n’est pas Guingamp, et je sais que leur série ne va pas durer, mais quand même. Une victoire à Bordeaux ce week-end, et je pourrais devenir malade pour de bon.
- Wiltord à Rennes. Je vais le répéter encore une fois : c’est n’importe quoi. Un des transferts les plus stupides de ces dernières années, plus stupide encore que Dhorasoo au PSG et dans la lignée de tous ces clubs qui ont signé Stéphane Dalmat. Mais avec un peu de chance, il ne coulera pas le club. Ce qui rend ce transfert tout de même cent fois plus intelligent que l’arrivée de Barthez à Nantes la saison dernière.
- Nantes, justement, où le Stade Brestois est prêt à l’exploit ce soir. Saviez-vous que ces équipes se sont rencontrées pour la dernière fois en championnat lors de la saison 90/91 ? C’était la dernière saison de Brest en D1. Ah, ces souvenirs de matches… Je sens que je vais verser ma petite larme. (Message aux joueurs brestois : humiliez ces pourris chez eux. Merci d’avance.)
- Alors comme ça, les Bleurks ont battu la Slovaquie 1-0 en match amical ce mercredi ? Et alors ? On ne soulignera jamais assez le degré d’ineptie de ce genre de match. Si vous l’avez regardé dans son intégralité, cela ne peut signifier qu’une seule chose : que votre vie est encore plus misérable que la mienne. Ou bien que vous vous appelez Thierry Gilardi.
- Un mot de baseball pour terminer. Mercredi soir, Texas a battu Baltimore 30 à 3. Je ne suis pas un spécialiste, mais tout de même, ça fait beaucoup. Tellement que la dernière fois qu’une équipe a inscrit 30 runs dans un match, c’était en 1897 ! Wow. Et Texas est une équipe minable, en plus. Dieu sait que le baseball ne ressemble à aucun autre sport, et surtout pas à notre football, mais disons que si samedi soir Nice bat Toulouse 12 à 1, ce pourrait faire un bon équivalent.
PS: encore une fois, comment s'inscrire dans ma fantasy league? Yahoo, puis "Join Custom", puis le code, 278204, et enfin le mot de passe "edd".
1 commentaire:
Gros Match à Leon Bollée hier soir! PAAAAAARIS EST MAGIIIIIQUE!!!
Et le stade brestôa est à l'aube d'une grande saison! J'ai vu le match contre Bastia...tout ce que j'aime chez les Corses, un entraîneur adjoint expulsé et des doigts à foisons aux tribunes de supporters!
vive le football!
Enregistrer un commentaire